L'école et le système éducatif
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Certaines écoles encouragent les enfants et les adolescents à effectuer une « transition sociale » même sans le consentement de leurs parents.
En Suisse, les programmes scolaires « Lehrplan 21 » et « Plan d’études romands (PER) », mis en œuvre respectivement en 2014 et en 2011, ne mentionnent pas la notion « d’identité de genre ». Cependant, de nombreuses écoles en Suisse explorent le thème de « l’identité de genre » en classe.
La recommandation du Conseil de l’Europe
En mars 2010, le Conseil de l’Europe, dont la Suisse est membre, a publié une liste de mesures recommandées pour lutter contre la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre. Dans le chapitre « Éducation », il écrit que, dans l’intérêt de l’enfant, « les États membres devraient prendre des mesures législatives et autres mesures appropriées, à l’intention des enseignants et des élèves, afin de garantir que le droit à l’éducation puisse être exercé sans discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre ». L’idée est de promouvoir « la tolérance et le respect mutuel à l’école ». Il ajoute que cela devrait inclure « la mise à disposition d’informations objectives sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre, par exemple dans les programmes scolaires et le matériel pédagogique », et conclue en disant que ces mesures devraient prendre en compte les droits des parents concernant l’éducation de leurs enfants.
Malheureusement, les écoles en Suisse n’ont souvent pas à l’esprit l’intérêt primordial de l’enfant, et parfois les droits des parents en matière d’éducation et/ou de protection de leur progéniture sont également ignorés.
Comment l’idéologie du genre est-elle enseignée à l’école ?
L’idéologie du genre est enseignée dans le cadre de l’éducation sexuelle ou des programmes de sensibilisation à la lutte contre la discrimination et le harcèlement offerts par des groupes de pression « transgenres » et LGBTQ, ainsi que par des professionnels de la santé employés par l’État.
L’éducation sexuelle et la sensibilisation à la lutte contre le harcèlement et les discriminations en Suisse romande sont dispensées par différents groupes et organisations (Genève : SSEJ, Fédération genevoise des associations LGBT, le Refuge ; Vaud : PROFA ; Valais : SIPE ; Fribourg : CFSS ; Jura : Association des animatrices en éducation sexuelle ; Neuchâtel : GSN ; Berne : ASEPE. Tessin, depuis 2019 : Commissione per l’educzione affettiva e sessuale nella scuola (CEAS)).
Santé sexuelle Suisse met à disposition des brochures qui promeuvent les concepts « d’identité de genre » et de « transition » médicale (Hey You !, My sex and I, Ta sexualité, tes droits, Sexess, Elephantine & Renardo) ainsi que des documents sur les « droits sexuels des enfants », qui sont largement diffusés.
Les écoles invitent également des groupes de pression « trans », tels que Agnodice et Transgender Network (TGNS), à parler de « l’identité de genre ». Les deux organisations proposent des conseils et des formations sur « l’identité de genre ». Ils fournissent également aux écoles des lignes directrices sur les meilleurs pratiques à adopter pour « transitionner » des enfants à l’école. Par ailleurs, la Fédération genevoise des Associations LGBT a été sollicitée par le Département de l’instruction publique du canton de Genève pour réaliser des formations et des programmes de sensibilisation dans les écoles, ainsi qu’à l’intention des enseignants. De même, dans le canton de Vaud, Voqueer, une organisation LGBTQ basée à Lausanne, se rend régulièrement dans les écoles pour parler de l’ « identité de genre » entre autre.
Les documents
Le cadre de référence pour l’éducation sexuelle en Suisse romande, publié par Santé Sexuelle Suisse en 2014, distingue le sexe du « genre » sans en définir le sens, et suggère que la notion de « genre » ou d’ « identité sexuelle » devrait être introduite auprès des enfants âgés de 4 à 8 ans. L’éducation sexuelle pour les jeunes de 10 à 13 ans explore « la différence entre l’identité sexuelle et le sexe biologique ». Les adolescents de 12 à 15 ans apprennent « l’identité sexuelle » et en quoi ce concept diffère de l’orientation sexuelle.
Les lobbyistes de l’ « identité de genre » ont publié un document sur les « meilleures pratiques » à avoir pour les enfants en « transition » dans les écoles. Ce document, rédigé par Agnodice, stipule que les enfants qui s’interrogent sur leur « genre » devraient être encouragés à changer de nom et de pronoms, et devraient recevoir des conseils concernant les médicaments et les chirurgies existant. Le document parle également de « diversité de genres », de « changement de genre », de « congruence de genre », de « difficultés psychologiques » et d’ « idées suicidaires et de tentatives de suicide réelles », et il déclare que « n’importe qui peut être transgenre ». Les signes qui pourraient indiquer qu’un enfant ou un adolescent est « transgenre » sont, entre autres, la non-conformité aux stéréotypes de genre et le fait que l’enfant ou l’adolescent souffre, par exemple, de dépression. Si un enfant ou un adolescent s’interroge sur son genre, il doit être orienté vers Agnodice. Ensuite, la première étape pour l’enfant est d’avoir une réunion avec le directeur de l’école accompagné de ses parents et d’Agnodice. Agnodice encourage vivement l’école à adopter le nouveau nom et les nouveaux pronoms de l’enfant, et à lui permettre d’utiliser les infrastructures du sexe opposé. Ensuite, il y aura un cours magistral à la classe, où l’on demandera aux élèves d’accepter la situation et d’ « éviter la violence et la discrimination ». Agnodice recommande à l’école de changer le nom de l’enfant dans tous les documents. Ils suggèrent également qu’une « approche transaffirmative » donne l’opportunité aux gens d’ « explorer les possibilités » et permet aux jeunes de « déconstruire les impératifs corporels » (par exemple, avoir une vulve pour être une femme, avoir un pénis pour être un homme, et seules les femmes ont leurs règles). Le document parle également de « sexe assigné à la naissance », au lieu de la réalité matérielle et biologique du sexe qui est observé à la naissance. Si les parents s’opposent à la « transition sociale » de leur enfant, Agnodice propose une médiation, mais si les parents persistent, Agnodice conseille d’agir « dans l’intérêt de l’enfant », c’est-à-dire de saisir les services de protection de l’enfance. Dans le préambule de la brochure, Agnodice met en garde les lecteurs contre les « fausses informations » provenant de groupes qui remettent en question ou s’opposent à la « transition » des enfants et des jeunes.
En plus d’être un groupe de défense et de conseiller les élèves des écoles publiques sur le « genre », Agnodice anime opportunément Centre3, un service de thérapie privé « inclusif » pour les personnes « trans et non binaires ».
TGNS utilise le même document traduit en allemand.
Pas de tolérance pour les enfants non-conformes aux stéréotypes de genre et le danger de la « transition sociale »
Le Conseil de l’Europe déclare que ses recommandations doivent être dans le meilleur intérêt de l’enfant. Mais contraindre un enfant à changer de nom et de pronom et à être considéré comme appartenir au sexe opposé n’est peut-être pas dans le meilleur intérêt de l’enfant. Bien au contraire, cela peut avoir des conséquences catastrophiques pour l’enfant.
Selon la pédiatre britannique Hilary Cass, qui a publié une étude sur les cliniques de genre au Royaume-Uni en 2024, les enfants et les adolescents qui ne sont pas bien dans leur corps et qui se rendent dans les cliniques de genre sont très divers et révèlent des profils complexes. Certains présentent une neurodivergence, telle que l’autisme, d’autres ont des troubles de santé mentale. D’autres encore ont vécu des expériences traumatisantes dans l’enfance (Cass Review, 2024, pp. 90-97) Cass note également que de nombreux adolescents qui se rendent dans des cliniques de genre sont attirés par les personnes du même sexe qu’eux. Ils pourraient simplement devenir gais, lesbiennes ou bisexuels, si on les laissait tranquille, et cesseraient très probablement de s’identifier comme membres du sexe opposé une fois atteint l’âge adulte. Pour illustrer cela, jusqu’en 2010, on n’ « affirmait » pas les rares garçons qui exprimaient leur souhait d’être des filles. Ceux-ci se réconciliaient naturellement avec leur sexe après la puberté. Les deux tiers sont devenus des hommes gais ou bisexuels à l’âge adulte (Singh et coll., 2021). Tous ces enfants et adolescents ont besoin d’être protégés contre l’automutilation.
Mais l’idéologie de l’identité de genre ignore le profil hétérogène et complexe de ces enfants ou adolescents vulnérables. De plus, l’idéologie de l’identité de genre crée une pression en renforçant les stéréotypes qui obligent les femmes à se conformer à un certain type de féminité et les hommes à un certain type de masculinité. Cela laisse peu de place à l’expression de genre atypique.
Changer le nom et les pronoms d’un enfant ou d’un adolescent n’est pas sans conséquences sur sa santé. Selon Hilary Cass, la « transition sociale » est une intervention active qui ouvre la porte à des interventions médicales pour la plupart irréversibles (Cass Review, 2024, pp. 158-162). Celles-ci sont susceptibles d’entraîner la stérilisation et la perte des fonctions sexuelles.
La féministe britannique Sheila Jeffreys nous rappelle des chapitres sombres de l’histoire et met en garde : « Au début et au milieu du XXe siècle, les chirurgies sexuelles et les traitements médicamenteux visaient à modifier le comportement des « inaptes » ou à réguler le sexe et le genre. » (Jeffreys, 2014, p. 123) Cette pratique visait la stérilisation comme moyen de contrôler ou d’éliminer les classes inférieures. Parmi les personnes ciblées figuraient des femmes, des lesbiennes et des hommes gays. Jeffreys fait un lien avec la tendance actuelle et suggère que le fait de « transgenrer » les enfants et les adultes pourrait également être une nouvelle forme d’élimination de la non-conformité aux stéréotypes de genre (Jeffreys, 2014, p. 124) Comme par le passé, les lesbiennes et les hommes gays sont particulièrement visés (Jeffreys, 2014, p.134) et les filles particulièrement concernées. Bien que le fait de « transgenrer » ne vise pas directement à stériliser, il entraîne cependant la stérilisation comme effet secondaire.
Femina Helvetica défend le droit des jeunes à mûrir, à se développer et à explorer leur sexualité et leur personnalité sans l’idéologie de l’ « identité de genre ». Les enfants devraient être protégés de la « transition sociale » ainsi que des interventions médicales et de la stérilisation.
Les directives scolaires et les parents perdant la garde de leurs enfants
La plupart des cantons suisses ont commencé à élaborer des règles sur la manière dont les écoles devraient traiter les élèves dits « transgenres ». Les directives sont basées sur une approche « transaffirmative » et ne tiennent parfois pas compte des intérêts des parents.
En 2020, le Bureau de l’égalité entre hommes et femmes de la ville de Zurich a commandé une expertise juridique sur les « enfants trans » à l’école. Un document de 50 pages a été publié qui soutient largement la « transition sociale » des élèves.
En 2021, le canton de Vaud a publié un communiqué de presse annonçant que Cesla Amarelle, cheffe du Département de l’éducation, de la jeunesse et de la culture, avait signé des lignes directrices sur les « bonnes pratiques » concernant les élèves dits « transgenres » et « non-binaires » à l’école. Les parents sont écartés du processus.
En 2022, s’inspirant du canton de Vaud, les Parlementaires socialistes et centraux valaisans ont rédigé un postulat concernant les élèves « transgenres » et « non-binaires » à l’école.
En 2024, la ville de Bâle a publié des directives à l’intention des écoles sur la manière de traiter les élèves « trans ».
En 2024, Genève a modifié ses directives datant de 2020. Les parents étaient d’abord exclus lorsqu’ils remettaient en question ou s’opposaient à la « transition sociale » de leur enfant, mais depuis juillet 2024, après une forte résistance des parents, la « transition sociale » d’un enfant de moins de 15 ans sans le consentement des parents n’est plus autorisée.Cependant, le conseil de la santé scolaire de Genève laisse entendre que la désapprobation parentale d’une « transition sociale » d’un enfant est consédérée comme de la « maltraitance ». Cela autorise l’école à diriger l’enfant vers les services sociaux.
La presse a fait état de situations à Genève et dans le canton de Vaud où les parents n’étaient pas informés de la « transition sociale » de leurs enfants à l’école. Dans certains cas, les parents ont perdu la garde de leur enfant « trans » et/ou ont été engagés dans des poursuites judiciaires pour avoir empêché la « transition » sociale et /ou médicale de leur enfant. Dans chaque cas, l’école a agi dans le dos des parents ou contre leur volonté, en coopération avec des organisations qui promeuvent l’ « identité de genre ».
Femina Helvetica connaît des situations similaires qui se sont également produites dans les cantons de Berne et de Fribourg, où des enfants ont été retirés à leurs parents. Ces cas n’ont pas été rendus publics.
La Commission nationale d’éthique soutient l’approche « transaffirmative » et a indiqué que le refus de « transition sociale » d’un enfant compromettait son avenir. Cette position oppresse davantage les parents qui remettent en question ou refusent de faire la « transition sociale » de leur enfant.
Au moins, le Conseil de l’Europe a déclaré que les mesures visant à lutter contre la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre devraient « prendre en compte les droits des parents en matière d’éducation de leurs enfants ».
Femina Helvetica critique l’approche « transaffirmative ». L’école doit traiter tous les enfants en fonction de leur sexe et ne doit pas les perturber avec des concepts nébuleux, tels que le « genre », l’ « identité de genre » ou la soi-disant « transition ». L’école ne doit jamais s’engager dans une « transition sociale » d’élèves, surtout sans le consentement des parents. Les parents qui n’affirment pas « l’identité de genre » de leur enfant ne devraient pas perdre la garde de celui-ci.
Utiliser les infrastructures du sexe opposé ? Le devoir de protection et le droit des filles à l’intimité, à la dignité et à la sécurité
Certaines directives scolaires sur la façon de procéder lorsqu’un enfant s’identifie comme « trans » stipulent que l’enfant devrait pouvoir utiliser les infrastructures du sexe auquel il s’identifie. Il s’agit par exemple des toilettes, des vestiaires, des cours de gym ou des dortoirs dans les camps de ski.
Cette approche ne prend pas en considération le principe de base de protection. Les règles de base pour réduire les risques tiennent compte de la réalité matérielle et biologique du sexe. Toutes les organisations qui travaillent avec les enfants, les jeunes et leurs familles sont responsables de leur protection. Ils doivent prendre toutes les mesures raisonnables pour s’assurer que les risques de préjudice sont réduits au minimum et, en cas de préoccupations, prendre les mesures appropriées pour y remédier. Le sexe d’une personne peut être un facteur de risque d’abus, en particulier d’abus sexuel. Le risque de tomber enceinte dépend du sexe pas de « l’identité de genre » !
De nombreuses institutions ayant des responsabilités en matière de protection adoptent des politiques qui remplacent le sexe par le « genre » et établissent des règles qui obligent le personnel et les jeunes à ignorer le sexe d’une personne s’ils préfèrent être désignés comme étant du sexe opposé, ou à rendre tabou le fait d’en parler. Cela va à l’encontre des principes de protection.
Certaines écoles choisissent même de remplacer les toilettes non mixtes par des infrastructures mixtes dans l’intention d’être plus « inclusives » - cela, au détriment des filles. Les filles évitent les toilettes mixtes afin d’écarter tout risque d’agression sexuelle. Elles ont besoin d’intimité, surtout pendant les règles, en raison de leur gêne potentielle lors du changement de produits menstruels.
Inclure les garçons dans les espaces réservés aux filles, c’est briser les frontières de celles-ci. Par cela, on fait comprendre aux filles et aux jeunes femmes qu’elles n’ont pas le droit de fixer des limites saines et sûres. Les filles ont droit à l’intimité, à la dignité et à la sécurité, sans que des garçons ou des hommes n’entrent dans leurs espaces non mixtes.
La préservation des infrastructures non-mixtes concerne aussi les garçons. Les toilettes pour garçons, en particulier,présente un espace ouvert équipé d’urinoirs. Femina Helvetica connaît un garçon qui s’est fortement opposé à l’entrée d’une fille (qui prétendait être un garçon) dans les toilettes des hommes. Il a été immédiatement réduit au silence par son enseignante.
Trop de politiques actuelles visant à rendre les écoles plus inclusives pour les élèves « trans » le font au détriment des filles (et des garçons) qui, par conséquent, s’auto-excluent de ces espaces.
Les enseignants et les parents qui soulèvent des préoccupations en matière de protection sont rejetés comme étant « transphobes » ou poussés à utiliser un langage qui dissimule les risques. Les systèmes de protection ne peuvent pas fonctionner si les gens ne sont pas en mesure de parler clairement des risques. Il est essentiel de pouvoir parler clairement et franchement de la réalité matérielle et biologique du sexe, dans les politiques et les procédures, et entre les individus et les organismes, pour obtenir un consentement éclairé, identifier les risques et prévenir les préjudices.
Femina Helvetica exige que toutes les installations non-mixtes dans les écoles restent non-mixtes. Nous défendons le droit des filles – et des garçons – à l’intimité, à la dignité et à la sécurité à l’école. Nous plaidons également en faveur de la protection.
Liens vers la documentation à l’appui de cette thématique :
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Recommendation CM/Rec(2010)5 du Conseil de l’Europe sur les mesures pour combattre la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, adopté en 2010.
https://search.coe.int/cm#{%22CoEIdentifier%22:[%2209000016805cf40a%22],%22sort%22:[%22CoEValidationDate%20Descending%22]} -
Plusieurs documents publiés par Santé sexuelle Suisse
https://shop.sante-sexuelle.ch/fr/1~10~SGS/Matériel-d%27information?c=121&hfffid_1-500_1-10=on&hffid=SGS,%20FilterSGS,%20FilterSSGS -
Cadre de référence pour l’éducation sexuelle en Suisse romande, publié par Santé sexuelle Suisse
https://www.educationsexuelle-ecole.ch/ck/ckfinder/userfiles/files/Cadre%20de%20reference%20romands.pdf -
Voqueer visite les écoles dans le canton de Vaud pour parler de l’identité de genre, entre autres.
https://www.rts.ch/audio-podcast/2025/audio/homophobie-5-5-cas-d-ecole-28924784.html -
Brochure publiée par Agnodice « Guide de bonnes pratiques lors d’une transition de genre dans un établissement scolaire et de formation ».
https://agnodice.ch/wp-content/uploads/2021/12/Guide_de_bonnes_pratiques_2022_WEB.pdf -
Brochure publiée par Transgender Network “Trans Schüler_Innen: Best-Practice-Leitfaden für eine Transition in Schule und Ausbildung“.
https://www.tgns.ch/wp-content/uploads/2020/01/Leitfaden_Trans_Schueler_innen_TGNS_2019_Web.pdf -
Site web de La Fédération genevoise des Associations LGBT divulgant leur partenariat avec le département de l’éducation publique du canton de Genève.
https://federationlgbt-geneve.ch/projets/ecoles/programme-dactions-de-formation-et-de-sensibilisation/ -
L’étude de Hilary Cass, 2024
https://webarchive.nationalarchives.gov.uk/ukgwa/20250310143642/https://cass.independent-review.uk/ -
Le livre de Sheila Jeffreys, Gender Hurts: A feminist analysis of the politics of transgenderism, 2014.
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Directives de la ville de Zurich concernant les enfants trans à l’école, rédigé par Andrea Büchler en 2020.
https://www.zora.uzh.ch/id/eprint/193391/2/Kurzfassung_Expertise_Buchler.pdf -
Directives par la ville de Bâle concernant les enfants trans à l’école, publicé en 2024.
https://www.bs.ch/medienmitteilungen/ed/2024-neuer-leitfaden-fuer-schulen-zum-umgang-mit-trans-schuelerinnen -
Postulat des parlementaires socialistes et du centre valaisans concernant une meileure inclusion des élèves « transgenres » et « non-binaires » à l’école.
https://parlement.vs.ch/app/fr/document/175859 -
L’annonce médiatique des directives Amarelle sur les “bonnes pratiques ” concernant les élèves “transgenres” et“non-binaires” à l’école.
https://www.vd.ch/actualites/communiques-de-presse-de-letat-de-vaud/detail/communique/accompagnement-des-eleves-transgenres-et-non-binaires-dans-lecole-vaudoise-1639382300.pdf -
Les directives genevoises sur le soutien aux élèves et apprentis transgenres et/ou non-binaires dans le contextescolaire ou de l’apprentissage à Genève (août 2024).
https://www.ge.ch/document/directive-accompagnement-dans-cadre-scolaire-formation-professionnelle-eleves-apprenties-apprentis-transgenres/non-binaires -
L’article dans Le Temps, “Transitions de genre : l’école genevoise accusée d’écarter les parents », du 29 mars, 2023.
https://www.letemps.ch/suisse/geneve/transitions-genre-lecole-genevoise-accusee-decarter-parents
